L’Allemagne est le berceau de l’automobile européenne et de son moteur phare, le Diesel. Pourtant sa cour suprême vient d’autoriser son bannissement à Stuttgart et Düsseldorf. Il
y a seulement 5 ans, le Diesel était pourtant présenté comme une technologie pro-environnement. Pourquoi ?
Les économistes disent que la productivité et l’innovation sont les déterminants de la croissance économique. Nous sommes aujourd’hui confrontés à un vrai paradoxe. La productivité stagne partout dans le monde, alors même que les robots, l’intelligence artificielle et les biotechs donnent la perception d’un déferlement technologique.
S’agit-il d’un problème de mesure? De surexposition d’innovations brillantes mais sans impact réel sur l’économie ? D’une diffusion trop lente de ces innovations ? Le vrai sujet est-il d’ailleurs la technologie? Ou bien s’agit-il plutôt d’une difficulté du capitalisme moderne à financer l’innovation productive?
La disruption est au cœur de toutes les conversations économiques. L’opinion constate l’émergence de nouveaux champions industriels, comme Uber, AirBnB, Netflix. Ils ont déstabilisé en moins d’une décennie des leaders sectoriels incapables de prendre la mesure du pouvoir de la technologie et des nouvelles attentes des clients.
Mais toutes les innovations ont-elles la même valeur ? Transforment-elles durablement l’économie d’un secteur ? Ont-elles des conséquences déflationnistes ? Telles sont les questions que nous aborderons en utilisant l’exemple de l’industrie musicale.
Le protectionnisme a effectué une percée idéologique. Il est désormais défendu par les Etats-Unis, première économie du monde. Tous les grands pôles économiques ont aussi durci leur politique d’accueil des investissements et de contrôle des acquisitions par des firmes étrangères. La Chine et les nouvelles technologies sont à l’origine de cette évolution. Pourquoi ? Existe-t-il un plan chinois ? Comment opérer dans un monde incertain ?
Notre livre remporte le Prix du meilleur livre d'économie financière.
Ce prix nous a été remis le 7 mars par Monsieur Michel Sapin, Ministre de l'économie et des finances et Marie-Anne Barbat-Layani, directrice générale de la Fédération Bancaire Française.
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